Walter Proof : Différence entre versions
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Après des études vigoureuses au Conservatoire des Zigues et des Zags de Villedieu-la-Belle-Eglise, il participe à l’expédition du baron Adrien de Gerlache de Gomery dans des zones non explorées de l’Antarctique. Séduit par le climat, et ayant échappé de justesse au scorbut (3 à 2), il décide de s’installer sur place. | Après des études vigoureuses au Conservatoire des Zigues et des Zags de Villedieu-la-Belle-Eglise, il participe à l’expédition du baron Adrien de Gerlache de Gomery dans des zones non explorées de l’Antarctique. Séduit par le climat, et ayant échappé de justesse au scorbut (3 à 2), il décide de s’installer sur place. | ||
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+ | C’est là, dans son igloo capitonné, commodément situé non loin du Pôle d’Inaccessibilité, avec le soutien psychologique sans faille de son fidèle Pompidou, qu’il construira l’essentiel de son oeuvre, aujourd’hui unanimement reconnue, même si on sait pas trop par qui. | ||
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Version du 13 octobre 2015 à 18:01
Walter Proof, de son vrai nom Walter Proof, est blogueur blagueur et podcasteur compulsif. Il dit que ça se soigne, mais rien n’est moins sûr.
Producteur du podcast L'Inaudible
Biographie
Né à Zanzibar, le 29 Messidor an CVIII (c’était un octidi, il paraît), Walter Proof s’engage comme mousse, dans un capuccino, à l’âge de 12 ans. Il fait 5 fois de le tour du monde dans le sens inverse des aiguilles d’une montre avant de rentrer chez lui, un peu fatigué.
Après des études vigoureuses au Conservatoire des Zigues et des Zags de Villedieu-la-Belle-Eglise, il participe à l’expédition du baron Adrien de Gerlache de Gomery dans des zones non explorées de l’Antarctique. Séduit par le climat, et ayant échappé de justesse au scorbut (3 à 2), il décide de s’installer sur place.
C’est là, dans son igloo capitonné, commodément situé non loin du Pôle d’Inaccessibilité, avec le soutien psychologique sans faille de son fidèle Pompidou, qu’il construira l’essentiel de son oeuvre, aujourd’hui unanimement reconnue, même si on sait pas trop par qui.
Oeuvre
Apport à la modernitude paradoxale
La plupart des observateurs considèrent Walter Proof comme le Marcel Proust de l’ère numérique, ou le Victor Hugo du XXIe siècle. Mais c’est sans doute parce qu’ils ne l’ont pas observé d’assez près. En fait, il serait plutôt le Hobby One-Key No Bee de la webosphère, mais en plus joli.
Assez paradoxalement, on peut envisager l’apport de Walter Proof à la création contemporaine comme un des plus considérablement indéniables du moment, tout bien considéré. Mais on ne le lui dit pas, en général, vu qu’il a déjà trop le melon.